Avec « Vortice », Claude Tchamitchian signe un album qui fait dialoguer l’enfance, la fête foraine et l’imaginaire circassien dans une fresque musicale d’une grande richesse. Entouré de Catherine Delaunay (clarinette), Christophe Monniot (saxophones alto et sopranino) et Bruno Angelini (piano), il propose huit compositions originales, toutes inspirées par les souvenirs émerveillés de spectacles et de manèges, où la musique devient tourbillon, équilibre et poésie.
Loin de la simple nostalgie, « Vortice » est une célébration de la magie collective, de la spontanéité et du partage. L’écriture raffinée et les harmonisations ouvrent des espaces de liberté aux interprètes, qui s’emparent de chaque morceau comme on entre en piste : sans filet, avec audace et sensibilité. La contrebasse de Tchamitchian, tantôt lyrique, tantôt pulsative, dialogue avec la clarinette aérienne, les saxophones expressifs et le piano coloriste, pour tisser une narration sonore pleine de contrastes et de surprises.
L’album se distingue par sa capacité à évoquer, sans artifice, l’univers du cirque : équilibre, voltige, tournerie, maîtrise et gaieté s’y retrouvent, portés par des mélodies chatoyantes, des textures nouvelles et des élans collectifs d’une grande intensité. Chaque titre est une invitation à l’émerveillement, à la rêverie et à la redécouverte du merveilleux.
La presse en parle
« La finesse de l'écriture et de l'harmonisation jamais ne bride la liberté des interprètes. Des transitions anguleuses, d'un pianisme mélancolique à une sorte d'allegro barbaro, des arrangements millimétrés emportés par une sorte d'élan vital : c'est une musique très collective célébrée par de grands musiciens. »
« Une grande valse foraine colorée, hommage aux sensations joyeuses de son enfance lorsqu’il découvrait émerveillé les décors et les numéros enchanteurs sous les chapiteaux. Lorsque les marionnettes s’animaient devant lui, avec éclat, mystère et poésie. Tout un vocabulaire, des images et des sentiments auxquels il redonne vie et vertige en huit compositions dédiées, sans nostalgie mais non sans magie. »
« On aurait tendance à penser que la nostalgie pourra vous guider vers ce qu’il y a de meilleur. Le contrebassiste nous invite en effet à plonger avec lui dans ses souvenirs d’enfance et plus particulièrement les fêtes populaires et le cirque qui constituaient pour lui de solides points d’ancrage, sources d’émerveillement pour les yeux et les oreilles. [...] Un film sans images autres que celles projetées par son imagination et la nôtre. »
« Claude Tchamitchian nous entraîne dans une déambulation onirique au fil de souvenirs des fêtes foraines de son enfance et ça tourbillonne. »
« Tout est merveilleusement construit sur ce thème où on retrouve toute l'essence du cirque, équilibre, gaieté, voltige, maîtrise, tournerie finale… Il nous reste à applaudir ce spectacle sonore coloré et terriblement original. »
